Mesdemoiselles, vous qui vous piétinez au premier rang de nos concerts, pour tenter désespérément de recevoir sur vous ne serait-ce qu’1 goutte de sueur de notre bel Ambroise, trompettiste moderne, j’ai une triste nouvelle.
Notre apollon quitte le territoire pour un exil professionnel en Algérie, et ce pendant 1 mois entier.
Mais prenez toutes votre mâle en patience, il va revenir plus bronzé que jamais, plein d’oseil, et il jouera notre répertoire à la derbouka, avec les pieds, tout en continuant de déchirer à la trompette !
Bonne route Ambroise Béramou, que les affaires te soient fructueuses ! ( de Garnier )
( Cette dernière phrase est, dans la mesure du possible, à lire avec l’accent de Robert Castel )