Les Ouais-ça-l’fait se joignent à ma pomme pour souhaiter à tous les amoureux de la vraie musique, du bon vin et de la fesse hardie une année pleine de vraie musique, de bon vin et de fesses hardies donc. Une année cool quoi !
Pour ce qui est des résolutions, on verra l’année prochaine.
Allez, bonne santé ( mais pas des pieds ! Désolé Raf, je t’ai piqué ta réplique)
*AHAHAH!!!CACAPROUTOJUS!!!!!*
Bisous à tous !
Dans le but de financer la cure de desintoxication quakeénne de notre batteur, les Ouais-c-sympa, camouflés sous leur bonnet de laine, feront une manche ce samedi 6 à 16h00 devant l’église de St Germain des Pres, à coté de la station de métro du même nom. Pourvu que le temps soit à la fête…..
… JEAN-PIERRE SL1 !
Résumé du concert:
C’est avec un retard de 25 minutes (+/- 10mn) par rapport à l’horaire annoncé que le nouveau set de la fanfare d’Androuze débute.
Avec, d’entrée, une blague: l’introduction de Femme Martinique à la clarinette, lancinante comme à l’accoutumée, tronquée pour s’enchaîner dans la foulée avec Moignons et Perceuses, afin, bien sûr, de surprendre l’audience et par là même de l’inviter à suivre cet exemple de non-conformisme.
Et ce n’est pas un hasard si le ton est donné dès le départ. En effet, c’est à l’initiative du batteur de caisse claire (qui ne s’est pas démarqué, ce soir, par la maîtrise de ses partitions, on en reparlera ultérieurement) et soutenu par Androuze lui-même, qu’une nouvelle direction artistique a vu le jour. Il est désormais de bon aloi de « s’engager », en fait, de profiter de la verve qui caractérise le groupe et de la mettre au service d’une cause commune à celui-ci.
Même si la nouvelle structure du set constitue en elle-même une nouveauté, ce n’est qu’à la dix-septième minute (+/- 3 min) c’est-à-dire au 5éme morceau (après Voisine en moins, Jungle book, Jump in the line) , que le public redécouvre un titre délaissé depuis la période dite de « reconstruction », et non des moindres: Goldorak.
Parlons-en, ben tiens, de Goldorak; si les banjos se sont illustrés par leur parfaite maîtrise de la « transposition guitare/banjo », les cuivres par la fougue de leurs appels, la basse par le rebondi et la rondeur des notes, les percussions et la grosse caisse n’étant pas en reste (en témoigne la précision de leur frappe), c’est la caisse claire qui pêche au milieu de la 3éme partie, manifestement prise au dépourvu par une nouveauté dans la structure du morceau: un break, passage en ternaire sur 2 mesures qui soutient la trompette, pourtant executé avec brio par le reste du groupe. C’est malheureusement le début de la fin pour la caisse claire qui, à l’instar de Jésus dans La Cène telle qu’elle fut peinte par Léonard de Vinci, multiplie les pains.
Heureusement, il en faut plus au groupe pour se décourager: ils -les membres du groupe- se « donnent à fond » pour remonter le niveau, compensant ce déficit technique par un débordement d’amour par tous les pores de la peau, quantifiable à la circonférence des auréoles de sueur sur leurs marcels de scène (selon la loi: A=2.8piR où « A » désigne l’amour et « R » en centimètres, le rayon de l’auréole).
S’enchaînent alors les morceaux. Les bières aussi. Les Cités Dortoirs, La Croisière s’amuse, La Biguine à Fufu, entraînent le public sur un rythme de plus en plus effréné, jusqu’à son paroxysme lors de l’Ophélie, présentée au public pour la première fois -c’est à l’écoute de ce morceau, entre autres, que la nouvelle touche « engagée » du groupe se dessine (cf 2ème couplet: « Thierry (H)ardisson de son côté se garde bien de nous raconter la vérité sur ce qui est vrai: la Grosse Classe »)-. Paroxysme temporaire en fait, puisque Benny Hill « version 2000 » surenchérit une nouvelle fois le nombre de bps (beat par secondes).
On sent venir la pause inter-set avec des morceaux plus tempérés rythmiquement mais non moins polémiques, avec Trust in Mib où le groupe affiche clairement ses orientations politiques scandant haut et fort « aie confiance….en notre gouvernement »! Puis Les Mondes Engloutis Dans Ton Cul (LMEDTC), puis La Petite Prison dans la Mairie (LPPDLM). Puis pause.
On fume des clopes, on boit des bières. Fiou! On souffle.
Je passe plus rapidement sur la seconde partie du concert (Cow boy(s), Coincoin, Rastapapa, Bravo Jacky, Femme martinique), sans réelle nouveauté. Je m’arrêterai tout de même sur Coin-Coin qui, agrémenté de nouvelles paroles en espagnol écrites par Androuze, acquiert ses titres de noblesse.
Le groupe finit enfin sur ses « morceaux bonus » qu’il réserve normalement pour les rappels (qui n’ont pas eu lieu pour cause de contraintes temporelles): Star Trick, Divorce Poils aux Nez, un Capitaine à capella repris par le public en sueur à donner les poils à Santi et enfin un Essuie Georges à Bonn épileptique.
Bah! Voilà pour le résumé….. C’était vraiment sympa, grand merci, merci, merci, merci, à Tous d’être venus quoi… Désolé pour ceux qui ont assisté au spectacle de derrière les vitres, on a foiré de ce côté-là mais on se rattrapera.
Mais surtout, vraiment, merci… enfin, j’veux dire… tranquille, quoi.
Bon…. ben…. à la prochaine. :o)
Oyez, Oyez ! Dernier rappel avant impact. L’heure c’est l’heure: les Ouais-C-Truc joueront ce soir, samedi 22, à 19h30 pile-poil. Nous conseillons donc à notre aimable clientèle de se présenter au guich…au bar vers les 18h00 afin de se mettre l’apéro en bouche et d’avoir des places de devant, ou bien encore 18h30 pour avoir des places de pas-devant.
Et oui il faut aussi penser aux voisins du bar qui, dés 21h02, voudront suivre leur Nolwen Académique ( « casséééeeeee… ») tranquilou et sans nos sons parasites. Donc pour une fois c’est apéro concert.
A ce soir donc, préparez vos cordes vocales et musclez vos jambes cavalières, ça va guincher sévère !
Finalement , ils repassent pour la 33 ième fois « L’amour en héritage » sur M6 , mon moral est au beau fixe , et le Big-Band Londonien ne veut plus de clarinette de toutes façons …
Rendez vous le 22 !
( On fera peut être une reprise du générique chanté par Nana Moscou rit )
Personnellement , je ne jouerai pas le 22 , il faudra faire sans clarinette ( Ce qui pourrait en satisfaire quelques uns ) Le match de cet aprés midi France / Angleterre en demie finale de la coupe du monde m’a sapé le moral , j’ai pu goût à rien , j’ai arrêté ma collec de Pin’s , et je pars faire une carrière internationale à Londre , où un Big-Band m’a embauché …
Adieu , et bon continuum espace temps …
Raf
oOouais!!!! De jolies photos sympa(thiqu)es de Madagascar ont été ajoutées à la bibliothéque d’images! Elles nous ont été ramenées par un ami commun de J.-P. sL1 et de Fred.com, j’ai nommé: Storné (alias Didier, ex-racaille de Montrouge, aujourd’hui reconvertie dans l’exploration de la biosphère). Il faut l’avouer, certaines photos sont un peu lourdes, mais le petit courant d’air de vacances qu’elles diffusent vaut bien qu’on leur accorde un peu de patience. 🙂
Qui a filé notre adresse de site à Frédéric Mittérand ?